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 Al' Cooper

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Al' Cooper  130110023136836309

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MessageSujet: Al' Cooper    Al' Cooper  EmptyJeu 15 Nov - 2:53
Alex Cooper
Hibari Kyoya/Katekyo Hitman Reborn!

Nom : Cooper
Prénom : Alex
Surnom : Le bleu, Al'
Âge : 25 ans
Nationalité : Canadienne
Date de naissance : 31 août
Situation : En couple
Métier : Policier, uniquement quelques mois d'expérience.
Phobie : Du feu dû à un cauchemar qu'il faisait régulièrement quand il était plus jeune.
Manie : Manger de la gomme quand il est tendu.
Fantasme : Le faire avec un homme... peut-être... mais... non. En couple.
Aime : Le calme - Le café - Les chats - La gomme à la menthe verte - Les pâtes - Sentir qu'il avance - Les échecs
Déteste : Le chaos - Les oignons - Les petits chiens - Les gens qui lui font perdre son temps - Être impuissant - Être inutile
Son rêve : Devenir investigateur, résoudre les crimes importants et complexes.
Son cauchemar : Perdre quelqu'un en mission ou qu'un collègue soit blessé par un faux pas de sa part.
Groupe : You are my hero !
Personnel

Crédit : SWater
Âge : 18 ans
Pays : Canada
Double compte ? : Pas encore xD
Comment l'avez-vous trouvé ? : Nathou :3
Qu'en pensez-vous ? : Je suis là après tout ! ♥️
Code : *-* Good Job ! Lx's ♥️

Histoire


Je me souviens de son expression comme si c'était hier. Le vide, le néant, bouche-bée total. Je lui aurais annoncé qu'il avait une fille hermaphrodite et qu'elle était prostituée sur ma Main, qu'il aurait eu la même expression.

Automne 1999, (Montréal/Canada), j'avais 12 ans et ma mère venait de décédée dans un accident de voiture. Une fois que ma gardienne m'annonça la tragique nouvelle, j'ai tout de suite réagit. Pas le temps de pleurnicher, fallait bouger. Je ne voulais pas du tout faire affaire aux gens du gouvernement. J'avais rien à me faire reprocher et ma mère non plus, mais j'avais peur, terriblement peur. Alors j'ai fais la chose qui me semblait la plus logique; j'ai rempli mon sac-à-dos de vêtements rapido-presto et je suis sorti par la fenêtre de ma chambre pour ne pas que ma gardienne ne m'empêcher de partir.

Mes parents étaient séparés depuis ma naissance, mais mon père n'habitait pas loin. Du moins, à ce moment, j'espérais qu'il n'avait pas déménagé depuis. Donc, j'ai marché, à 21h du soir, avec mon sac-à-dos jusque chez Harold Cooper.

Bouche-béé j'ai dis ? Ah oui, pour être bouche bée, il l'était. Ça c'est passé comme ça en fait: j'ai frappé et la porte s'est ouverte sur monsieur Cooper.

- Hey dad...

- ...

Voilà. Un gros silence pendant au moins dix minutes, puis un simple "Alex ?" comme si j'étais un étranger pour lui, ce qui était assez normal j'en conviens. Il m'a finalement fait entrer et je lui ai appris la nouvelle. Il en fut accablé et on ne pipa mot avant le lendemain. Je crois l'avoir entendu pleuré durant la nuit et je me suis donc aussi laissé aller me disant que si un homme pleurait, je pouvais pleurer sans crainte d'être jugé. Ma mère m'avait toujours dit que les femmes aimaient les hommes forts alors je m'étais encré dans la tête que pleurer était pour les faibles. Même enfant, je pleurais rarement à cause de ça.

Le lendemain, les gens du gouvernement sont venus et mon père a accepter de prendre ma charge. Il était tout de même de ma famille, mon parent alors automatiquement il devenait mon tuteur, mais il avait le droit de refuser. Je dois avouer que j'ai ressenti une certaine chaleur quand je l'ai entendu dire qu'il allait s'occuper de moi. J'ai bien compris qu'il le faisait pour maman... en sa mémoire.

Ce matin-là je me retrouvai alors face-à-face avec Harold, un homme très timide et réservé, tout comme moi. Assis sur deux sofas séparés, un devant l'autre, le silence régnait. Ce n'était pas nécessairement un silence inconfortable, j'attendais qu'il commence à parler en premier, mais j'attendais d'abord qu'il termine de m'analyser. Il me regardait dans mon ensemble, coudes sur les genoux, mains groupées derrière lesquelles il cachait bouche et menton et je devinais le chaos de questions et de pensées qui tourbillonnait dans sa tête. Juste à y penser, ça me donnait le tournis.

- Hm... do you like sports ?

- I play soccer occasionally...

- Hm...

Nouveau silence. Ce n'est que bien plus tard que j'ai appris que le mot préféré d'Harold Cooper était ce fameux "hm". C'était un mot qui le définissait bien étrangement. Vague, bref et qui pouvait servir de réponse à n'importe quelle question.

- Well... Good talk.

On regarda la télé suite à cette fascinante discussion père, fils. C'était pas si mal d'avoir juste ça a se dire en douze ans de séparation. Le truc c'est que mon père n'était pas quelqu'un qui parlait beaucoup. Au début, c'était difficile à cause de mon jeune âge. C'était quand même mon père alors je voulais le rendre fier. Je lui montrais mes bonnes notes, les dessins que je faisais, mais je n'eus jamais l'attention que j'aurais voulu. Il ne souriait pas non plus. Ne comprenant pas le personnage complexe qu'était mon père à ce moment, j'en étais venu à me demander s'il m'aimait un minimum. Toutefois, cela changea du tout au tout un 15 janvier.

Ce n'est pas parce que ma mère m'avait quittée que j'avais arrêté d'aller à l'école pour autant. J'étais en sixième année de primaire en plus, j'allais bientôt au secondaire, c'était une année scolaire importante. Sauf que j'avais des problèmes. Pas des gros, mais il y a toujours des gens qui tentant d'abaisser les autres pour se monter. Des gros bras qui m'énervaient, mais c'était pas pour autant que je me laissais faire. Je n'étais pas un bagarreur, mais quand c'était nécessairement, je frappais et je n'hésitais pas. Je n'étais pas particulièrement bon en bagarre, je fermais les yeux et j'envoyais mon poing dans le tas. Je faisais de mon mieux quoi. Une fois, je suis revenu avec la lèvre inférieure enflée à la maison et ce fut la première fois que j'ai vu Harold véritablement inquiet, mais surtout en colère. Je me rappel de sa poigne sur mon menton, sa voix grave, dangereusement calme et son regard fixe.

- Who did this to you ?

Voulant paraître comme un homme, surtout devant un père si impassible et si fermé, je voulais m'écarter. J'aurais été capable de m'en sortir seul, je me devais de m'en sortir seul. Malheureusement pour moi, mais heureusement pour mon père, je me suis plié à son regard de marbre. J'ai craché le morceau, sorti un nom ou deux, mais j'avais peur. Harold semblait si frustré que je craignais qu'il fasse sa propre justice, mais étonnamment, le lendemain fut un jour d'école normal à l'exception d'une visite chez le directeur. Contrairement à ce que j'aurais cru, mon père avait simplement parlé au directeur des deux gros bras, mais à mon retour à la maison, après l'avoir remercié, il me lança:

- I really wanted to punch their faces... believe me.

J'ignore pourquoi, mais j'ai souris. J'étais fier de mon père. Ce fut aussi la première fois que je vis l'ombre d'un sourire sur les lèvres de ce dernier. J'en étais fasciné. Comme si je découvrais une nouvelle espèce animal jamais vu auparavant. Ce moment de complicité ne dura pas longtemps, mais ce fut assez pour que je comprenne; Harold n'était pas un homme de parole, mais d'action. Il gagnait la confiance des gens avec le temps, mais il avait quelque chose d'autre aussi: une aura. J'ignorais si c'était à cause de sa carrure (il était plutôt large d'épaule), mais il dégageait cette sensation de sécurité. Du moins je le remarquais uniquement en cette journée. Dès lors, je su comment m'y prendre avec lui et j'ai su mieux le comprendre.

Le voir sourire était assez rare tout comme le voir véritablement fâché. Harold était quelqu'un d'impassible, mais tout se jouait dans ses yeux. Je me surprenais même à l'observer en cachette parfois. J'étais impressionné et je me suis longtemps demandé ce qui était arrivé entre ma mère et lui, car même si j'ai entre-vu des expressions amusés, je voyais bien qu'il était blessé, un homme brisé. L'histoire qui englobait ma naissance m'intriguait alors j'ai demandé à mon père s'il pouvait m'en parler et comme je m'y attendais, ses yeux parlèrent en premier. Cela semblait lourd pour lui, car un voile de tristesse lui banda les yeux et comme si ce n'était pas assez, il baissa le regard vers le sol, hanté par les fantômes du passé.

- When you will be older, maybe...., me répondit-il.

À cet instant, je m'étais un peu refroidit parce que dans ma tête de 14 ans, j'étais assez vieux pour ce genre d'histoire, mais j'ai attendu et attendu...

Cette histoire ne vint jamais et j'avais oublié ma demande spéciale. L'idée de devenir policier m'était venu quand même jeune comme à peu près tous les jeunes garçons, mais l'idée devint un véritable but vers mes 17 ans, juste avant le Cégep et alors que je regardais les écoles de la région de Montréal, Harold m'annonça qu'on déménageait aux States. Ça ne me dérangeait pas beaucoup étant donné que j'avais un anglais excellent et côté amis... bah j'en avais pas tant que ça. Un mois plus tard, on était installé à Sunshine. Mon père disait que c'était parce qu'il cherchait des informaticiens comme lui et en plus c'était un joli endroit où prendre sa retraite quand cette dernière arrivera. Effectivement, c'était assez beau comme endroit et tout sentait le neuf. Harol m'expliqua que c'était un nouveau coin et que le prix de la vie n'était pas si élevé comparé justement au niveau de modernité.

Étant quelqu'un qui vit bien avec sa solitude, je n'ai eu aucun problème à "m'intégrer". J'ai pris un petit travail dans un café et j'ai fait mes études à l'université dans une ville voisine. Au début, je faisais un peu rire de moi vu ma carrure, mais je savais bien que ça avait aucun rapport. J'avais beaucoup d'endurance et j'étais rapide ce qui me donnait un truc de plus que ces gros bras. De toute manière, je savais que ces gars là n'allait pas passé les examens écrits. Heureusement, je savais que question "réaction en cas d'urgence", je passais le test. Une fois, Harold travaillait sur un truc dans le garage et il avait fait un faux mouvement se sciant quelque peu les doigts. Heureusement, ce n'était pas aussi profond que ça aurait pu. Réagissant au quart de tour, je m'étais lancé à sa rescousse emportant avec moi glace et linge. J'avais d'abord pansé sa plaie avant d'appeler l'ambulance. Pour un sans faute, j'aurais dû appeler l'ambulance avant, mais j'avais au moins la note de passage, c'était l'important. Bref, j'avais du potentiel, je le savais bien. De toute manière, je n'étais pas bon à grand chose. Toujours de bonnes notes, mais je ne m'étais jamais démarqué en quoi que ce soit. Je n'étais ni complètement artiste ni complètement mathématicien. J'aimais apprendre, c'était tout, mais surtout trouver des solutions. C'est ce qui m'attirais dans le métier d'officier de police. Je savais bien que je n'allais pas commencer en tant qu'investigateur, mais il y avait un début à tout.

Au même moment où je commençais à en apprendre sur mon travail, je commençais à en apprendre sur la vie sociale. Pas que j'en avais une... Enfin, je vous explique. Voilà, il y avait une fille, une habituée: Ashley Reed, une brunette aux yeux bleus. Chaque fois qu'elle venait avec ses amies au café, c'était des gloussements et des regards vers moi. Dès que je croisais son regard, elle rougissait et regardait ailleurs. Sincèrement, je n'ai rien compris de tout ce manège jusqu'à ce qu'elle m'invite concrètement à sortir. Au début, je ne voulais pas, mais mes collègues autour de moi ont répondus à ma place. Je ne voulais pas lui poser de lapin avec je suis aller au cinéma avec elle. Ashley était quelqu'un de bien, de normal, du genre à faire passer sa vie sociale avant sa vie professionnelle, mais qui semblait avoir un bel avenir. Il n'est pas difficile à croire qu'elle monopolisa les conversations tout au long de la soirée, mais ce n'était pas comme si je m'en plaignais. Avant que je n'ai eu le temps de dire «ouf», on était à la deuxième rendez-vous. Finalement, tout à une logique, on s'est mis à sortir ensemble. Je me suis laissé prendre au jeu, un peu. Se tenir la main, s'embrasser et faire l'amour aussi.

Quelques années plus tard, j'ai 25 ans et je suis officiellement policier depuis presque un an. J'avais fais une ou deux années en tant que stagiaire. Je suis toujours avec Ashley Reed qui est aujourd'hui professeur et je n'ai jamais été voir ailleurs même avec elle je ne suis pas tant portée sur la chose. Parfois, ça la frustre, mais en général, ça va. Ça fait six ans qu'on est ensemble et ça fait un an et demi que nous habitons ensemble. J'apprécie beaucoup mon travail et même si je trouve certaines missions inutiles, je les accomplis parce qu'il faut bien que quelqu'un le fasse. Autrement, Harold vit tranquille dans sa maison, seul, comme avant ma venue dans sa vie. Je vais le voir fréquemment, m'ayant attaché à cet homme qui m'avait donner un toit. Je m'inquiète un peu étant donné qu'il a eut un petit accident cérébro-vasculaire mineur et que ça pourrait arriver une deuxième fois. Je prend de ses nouvelles souvent et ma présence ne semble pas le déranger. Je suis même soulager de lire de la fierté dans son regard quand il me voit arrivé en uniforme.
Caractère

Qualités:
Autonome - Diplomate - Astucieux - Solide - Appliqué - Organisé - Aidant - Bienveillant - Direct - Digne de confiance - Discipliné - Endurant - Juste - Loyal - Responsable - Rusé - Patient - Vrai - Stratège - Résistant - Vigilant - Prudent - Humain
Défauts:
Ferme - Distant - Froid - Blasé - Borné - Compliqué - Indépendant - Solitaire - Peu bavard
Physique

Taille : 1m76
Poids : 71 kg
Corpulence : Davantage fait pour la vitesse, il n'a pas de musculature voyante, mais il en a tout de même et il semblerait qu'il serait plus fort qu'il n'y parait.
Cheveux : Assez court pour la forme, Al' est porté à attendre la dernière minute pour les faire couper alors il en vient souvent à les avoir un peu plus long que la normal. Ils sont bruns foncés et de nature lisse même s'ils frisent un tantinet à l'humidité.
Yeux : Bruns, noisettes
Forme visage : Ovale
Forme nez : Fin
Tour de poitrine : Bah aucun hein...
Style vestimentaire : Simple, préférence pour le jean et chemise, mais aime bien son uniforme aussi.
Particularités : Il a les lobes d'oreilles percés alors parfois il va porter de petites boucles d'oreilles, mais c'est toujours très discret. Ses préférées sont de simples petites boules en métal. Toutefois, Harold n'aime pas le voir avec...


Dernière édition par Alex Cooper le Dim 18 Nov - 6:36, édité 7 fois
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MessageSujet: Re: Al' Cooper    Al' Cooper  EmptyJeu 15 Nov - 7:07
Bienvenue à la maison !
Bon toi ! Tu ne dois pas passer les menottes à Ed' ♥
Mise à part ça j'espère que tu vas bien te plaire ici et si tu as des questions n'hésite pas ;)
Bonne chance pour la suite de ta fiche :3
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MessageSujet: Re: Al' Cooper    Al' Cooper  EmptyDim 18 Nov - 6:41
Validé x)
Enfin passe nous les menottes ! *_*
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MessageSujet: Re: Al' Cooper    Al' Cooper  Empty
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