« Kanda, chéri... Tu devrais te reposer un peu. »

Ta tante se tenait là penchée sur ton lit, un sourire triste sur le visage, le genre de sourire de compassion qu'on essaie d'arborer au mieux devant quelqu'un qui perd la boule. Histoire de dire "CE n'est rien... Ce n'est pas ta faute'. D'un geste violent, tu envoyas valser des objets qui s'éparpille dans la pièce. La mâchoire serrée, pour la première fois depuis longtemps tu sentais les larmes monter jusqu'à tes yeux. Tu les refoules au mieux avant d'enfouir ton visage entre tes mains tremblantes. Cet accident cette explosion et là tu te dis et s'il ne t'avait pas sorti de ces décombres et ne t'avais pas sauvé la vie tu serais tout simplement mort, mais à quoi bon vivre tu portes les marques de ce foutu accident ton regard naît plus le même qu’avant aujourd'hui tu es aveugles tes yeux sont plongés dans la noire et le vide tu portes des marques à ton corps qui ne s'effacera plus, voilà pourquoi tu et dans ce lit d'hôpital. Et dans ce lit d'hôpital tout défile l'accident le passer. ta mère, ta mère était tombée enceinte de toi très tôt, et t'avait élevé au mieux dans un petit appartement dans la banlieue de Tokyô. Chaque fois que tu lui demandais, elle te décrivait ton père comme un Américain, grand et très beau, qui avait autre chose à faire que de s'occuper d'un gosse à 19 ans. Même si au début ça te faisait mal, petit à petit ce fut pour ta mère que tu eus le plus de peine. Cet homme, en plus d'avoir gâché sa vie en lui donnant un enfant, avait aussi fait d'elle une femme aigrie et méfiante qui n'avait plus été capable de garder un homme plus de quelques mois. Tu es là tu la vois perdre le contrôle de sa vie au début sa à étai dur de la perdre elle aussi tout comme ton meilleur ami et ta fillencer malgré tout tu survis et tu continues d'avancer mais malgré tout tu te dis à quoi bon continuer tout à quoi tu tenais à disparaître dans le noir depuis cet accident. Et là tu ressors de cet hôpital où tu as passé plusieurs mois et là tu es démoli affaiblie tes yeux toujours plonger dans le noire et le vide ta tante qui était venu te chercher un sourire triste sur le visage aux portes de cet hôpital pour te ramener chez elle juste pour un certain temps tu n'as plus quelle cette vieille femme qui ne peut te supporter et jusqu'à aujourd'hui n'a jamais rien fait pour toi, tu montes dans la voiture et tu t'assieds-tu entend la voiture démarre les paysages défilés par la fenêtre ouverte, le vent qui souffle sûre ton visage et tes longs cheveux qui s'envolent sûrs ton visage à l'allure de la voiture qui roule pendent quelque temps, et là elle s'arrête tu entend une porte qui s'ouvre et tu sen une main qui se tend vers toi pour te sortir de là, mais tu la rejettes, tu sors de cette voiture avec difficulté tu entend la porte qui se referme derrière toi et là tu sans un bras qui te prend et te serre pour t'aider à avancer des gros yeux se font voir sûr ton visage mais tu te laisse faires et là tu avances ce bras qui te prend et te serre se bruit de chaussure sur le gravier qui avances-tu sans les graviers devenir dures et plat tu sen désormais de marche sous tes pieds tu les montes une halte de quelques secondes et un bruit de vieux boit de porte qui s'ouvre et là tu y rentre dans ce vieux château un vieux parquet qui grince sous tes pieds et ses bras qui te prend et te serre et là tu sans qu'il te lâche et s'éloigne et la une voix se fait entendre une présence que tu ne connais pas se fait ressentir « Bonjours mesieur Kanda c'est moi qui vous guiderai jusqu'à votre chambre et qui s'occupera de vous je me nom Shara » tu sans une main qui se tend vers toi une main chaleureuse et douce que tu prends dans la tienne tu la suis dans de grands escaliers que tu as peiné à monter tes pieds s'encouble à chaque pas que tu fait et tu sans cette main qui te retiens pour finir pares te prendre par le bras, tu arrives enfin péniblement en haut de ces marches qui te porte jusqu'à ta chambre, et là tu sans une porte s'ouvrir « voilà mesieur Kanda nous sommes arrivées à votre chambre, avez-vous encore besoin de moi ! » et là tu te dis quoi lui dire tu ne le sais pas tu es aveugle comment te déplacer sons tes yeux comment voir où tu vas sans aux et comme un con tu lui réponds que tout va bien et que tu n'as pas besoin d'elle « alors je vous laisse mesieur Kanda si vous avez besoin de quelque chose il suffira de m'appeler, je viendrai-vous cherchez pour le dîner » et là tu entend la porte qui se ferme derrière toi tu esseille de te diriger en t'attends de tes mains dans cette chambre ou tu te cognes dans les meubles pour finir pré de ton lit où tu t'y assois et te couchez tes yeux dans le vide tes bras coucher le long de ton corps tes longs cheveux ébène éparpiller le long de ton corps tu reste quelque tempe à fixer le plafond et tu t'endors très vite, tu n'as pas entendu Shara qui n'a pas voulu te réveiller et qui ta couver avec une couverture pour que tu ne prends pas froid, et là tout a coup dans le silence de la nuit tu te mais as bougé dans ton lit tu te redressais en ourlent et en haletant sur ton lit, trempé de sueur tes longs cheveux ébène tombant le long de ton dos. Tout semblait calme autour de toi, un rayon de lune filtrait à travers les rideaux. Les yeux écarquillés et tremblent tu sentais tes mains qui tremblaient. Une angoisse sourde tordait ton ventre. Tu avais encore fait ce cauchemar, tu avais revu cette scène une fois de plus cette scène de mort où ta fillencer aspire pour la dernier foi dans tes bras. Redressées sur ton lit ces images continuaient de hanter ton esprit et là tu entes des bruits de pas qui courent jusqu'à ta chambre et là, la porte s'ouvre très vite « mesieur Kanda que vous arrive-t-il » tu entend sa voix mais tu ne réponds pas tu n'y arrive pas tu es paralysé tu es focalisé sûre tes mains qui tremblent de plus en plus, tes yeux écarquillés et tremblent, et là tu sans une main sûre la tienne « calmer vous mesieur Kanda tout va bien, rendormes vous mesieur Kanda je reste avec vous » et là tu te recouches-tu sans la couverture remonter sur ton corps tu te rends d'ores péniblement mais tu ne sais pas pourquoi mais sa présence te calme et t'apaise, tu te réveilles au petit matin tu t'habile t'en bien que mâle tu passe ta main pour te diriger tu portes ta main sur la poigne tu ouvres cette porte pour te retrouver dans les escaliers où tu descend pour te retrouver dans un grand couloir « bonjour mesieur Kanda comment allez-vous » « Bien » tu sans sa main qui prend la teigne et qui t'en mène dans une grande salle aux ta tantes t'y attend « Merci Shara laisser nous » « Bien madame » et là tu t'assieds sons un mot « J'ai trouvé un nouveau foyer pour toi du nom de sunshine tu partiras dès cette après-midi » et là tu restes en silence tu ne dis pas un mot mais tu s'en bien son regard posé sur toi sont regards de dégoût quelle à toujours ou pour toi comme si rien n'avait changé, et là tu te lèves et tu t'en vas jusqu'à ta chambre pour ramasser le peu d'affaire que tu as quelque habit et un katana tu entend frapper à ta porte « Oui » tu entend la porte s'ouvrir et le parquet qui craque sous des pas « Ces moi mesieur Kanda je viens vous cherche votre tente vous attend » et là tu lâches un soupires-tu prend ton sac et tu la suit-tu sorte du grand château tu rentres dans la voiture qui t'en maine jusqu'à ta nouvelle vie la voiture s'arrêtes-tu y sorte ta tante sons un mot te pose un baisser sur le front et s'en vas-tu entend la voiture qui démarre tu es là au grand gris de tes nouvelles vies...